Sur les pas de Charles Perrault.

Barbe Bleue mission impossible.

En ce temps-là, vivaient des agents secrets très forts et des filles très jolies. Dans une ville appelée Rio de Janeiro habitait un monsieur nommé Barbe Bleue. Il avait de grands terrains et cherchait une femme avec qui il pourrait se marier. Il pensait à ses voisines : Margotell et Valéria Petit Pied. Il envoya un texto dans lequel il demandait l’une des deux filles en mariage mais Margottel et Valéria Petit Pied n’avaient pas envie de se marier avec quelqu’un qui avait la barbe bleue. Elles se rendaient tout de même au rendez-vous chez Barbe Bleue. Quand elles le virent, Valéria Petit Pied en tomba immédiatement amoureuse. Barbe Bleue dit : « Puisque c’est comme ça, je veux me marier avec Valéria Petit Pied ». Quelques jours après le mariage, Barbe Bleue dû partir en mission secrète pour tuer la sœur du président américain. Il dit à sa femme : « Je dois partir pour une affaire. Je te confie toutes mes clés mais attention, tu n’as pas le droit d’entrer dans l’usine désaffectée sinon tu auras affaire à moi ! ». Après ces quelques mots, Barbe Bleue partit pour sa mission. La femme, qui faisait la vaisselle, était curieuse de connaître le secret de l’usine. Elle décida d’y aller. Quand elle fut arrivée, elle ouvrit délicatement la porte de l’usine désaffectée. Elle y vit dix-sept femmes mortes pendues au plafond. La femme se dit : « Il aurait dû appeler cette usine l’usine des mortes ! ». Elle rentra à la maison et vit que la clé était tachée de sang. Elle eut à peine le temps de respirer que Barbe Bleue était déjà rentré. Quand il vit la tête de Valéria Petit Pied, il se doutait de quelque chose : « Avez-vous ouvert la porte de l’usine ? » demanda-t-il d’une voix ferme. Il ajouta : « Donnez-moi les clés ! ». Elle lui donna toutes les clés sauf une : la clé de l’usine désaffectée. Barbe Bleue cria encore plus fort : « Donnez-moi la clé de l’usine immédiatement ». La femme, toute tremblante la lui donna. Barbe Bleue vit le sang sur la clé et dit : « Tu vas mourir ». Sa femme répondit : « Ayez pitié de moi et de ma famille, je voudrais prier dans ma chambre ». Barbe Bleue, plus en colère encore, dit : « Oui, mais à 14h30 tu descends ». Valéria Petit Pied répondit : « C’est d’accord. Ce n’est pas la peine de me dire où est ma chambre, je ne suis plus une enfant ». La femme monte à l’étage. Avec son smartphone, elle appelle ses frères :

« -Allo

– Salut sœurette, est-ce que tu nous appelles pour le bal masqué de samedi soir ?

– Mais non, mon mari essaye de me tuer.

– Pourquoi n’as-tu pas envoyé un S.O.S ?

-Ce n’est pas le moment, à l’aide ! Au secours ! »

Ses frères, qui sont des agents secrets, arrivent par l’océan avec un jet-ski. Pendant ce temps, Barbe Bleue crie à sa femme : « Descends, il est l’heure ». Sa femme dit : « Je sais, ce n’est pas la peine d’en faire tout un plat. J’arrive ! De toute façon, je n’ai pas le choix ». Valérie Petit Pied descend une marche, deux marches, trois marches… Quand elle arrive enfin en bas, elle n’a pas le temps de faire son crie de peur que ses frères ont déjà tué Barbe Bleue. Sa femme dit : « Puisque je suis en vie, je veux bien aller au carnaval samedi. De toute façon, avec le coup de sabre laser que vous lui avez donné, il ne risque pas de revenir à la vie ».

Les élèves de CM1 monolingue.